Dans le contexte financier actuel, le fusion d’officines peut être une solution envisagée par des confrères et consœurs afin d’entrevoir l’avenir plus sereinement, d’améliorer son cadre de vie tout en renforçant son rôle de conseil de ses patients.
Le cadre pluriannuel, qui vient d’être négocié le 15/03/2017, entre les organisations professionnelles (APB – OPHACO) et la Ministre des Affaires Sociales et de la Santé publique contient un volet » Répartition » qui traite des fermetures et des fusions et qui doit se traduire par une adaptation de la règlementation actuelle dans ce domaine.
Cependant, pour l’essentiel, la démarche consistant à fusionner 2 officines restera basée sur les mêmes principes que ceux en vigueur actuellement.
Certains changements devraient cependant intervenir dans ce domaine avant le fin 2017.
Quels sont les principaux changements?
A noter que les autres règles concernant la répartition et plus particulièrement les transferts connaîtront de plus importants changements. Il convient donc d’être extrêmement prudent durant la période actuelle si vous envisagez une fusion car c’est une opération qui peut prendre du temps et il est difficile actuellement de se prononcer sur un texte légal dont nous connaissons seulement les principes généraux.
Enfin, il ne faut pas perdre de vue les aspects juridiques, comptables, fiscaux et sociaux qui concernent la fusion. Il est donc essentiel, si vous envisagez ce type d’opération, de vous faire conseiller par une fiduciaire qui dispose d’une large expérience dans ce domaine comme c’est le cas de Fidulife-CFG.